Oeuvres
principales de Chausson
Poème de l'amour et de la mer
Avec Jessye Norman (soprano), le Quuatuor à l'Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo
Cette oeuvre est l'une des plus connue d'Ernest Chausson. Jessye Norman est confondante de somptuosité avec une douleur retenue. |
L'oeuvre pour piano
Avec Xavier Bouchaud (piano)
Il s'agit de la premier intégrale des oeuvres pour piano de Chausson. Elle propose en outre sept inédits. Parmi les pièces retrouvez : Paysage, Pavane, Sarabande, Dédicace, Forlane, Fantaisie... |
Concerto op.21 - Mélodies
Avec Irma Kolassi, Louis Froment et Arthur Grumiaux
On retrouve ici une autre interprétation du Poème de l'amour et de la mer avec Arthur Grumiaux ; sublime ! |
Les mélodies
Avec Felicity Lott (soprano), Ann Murray (mezzo-soprano), Chris Pedro Trakas (baryton), Geraldine Greevy (soprano), Graham Johnson (piano) et le Quatuor Chilingirian
Chausson dédia une bonne partie de sa vie à la voix, pour laquelle il écrivit des cycles de mélodies essentiels, exploitant les timbres, la richesse de l'organe et les diverses possibilités techniques afin de rendre une émotion si juste qui caractérise la musique française de cette époque. |
Poème op.25, Trio avec piano, Pièce op.39
Avec Pascal Devoyon, Philippe Graffin, Gary Hoffman
Concert et Quatuor à cordes en ré majeur
Avec Pascal Devoyon, Philippe Graffin et Toby Hoffman
Un style fait de noblesse et de chaleur afin de déjouer les pièges de l'écriture complexe de Chausson dans le domaine de la musique de chambre. Une ineffable délicatesse et une réelle intelligence de jeu caractérisent cette
très grande version.
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Symphonie op.20 - Viviane op.5 - Soir de fête op.32 - Tempête op.18
Avec l'Orchestre Philharmonique de la BBC
Cette interprétation est passionnée sans être ostentatoire, donnant une vision juste et très poétiquement rhapsodique ; l'orchestre et le chefs se montrant attentifs au moindre défaut. |
Le Roi Arthus
Avec Leon Botstein dirigeant les Choeurs symphoniques de la BBC
Même s'il écrivit beaucoup pour la voix, Chausson ne laisse qu'une seule oeuvre théâtrale, qui porte les stigmates de sa feveur wagnérienne en rappelant de loin Tristan et Isolde dans un univers debussyste... Pour les curieux, vous ne serez pas déçus... |