Oeuvres principales d'Hindemith
Lieder - Chöre - Kanons :
Robin Gritton dirige le Choeur de la Radio de Berlin
|
Enfin le voile sur une partie trop méconnue de l'oeuvre d'Hindemith : ses compositions pour voix a cappella. Très beau.
|
Sancta Suzanna - Drei Gesänge op.9 :
avec l'Orchestre de chambre RIAS de Berlin, le Deutsches Symphonie-Orchestre Berlin, dirigé par Gerd Albrecht, et Helen Donath & Janis Martin (sopranos)
|
Scandaleux, expressionniste, Hindemith choquait avec son premier opéra Sancta Suzanna. A découvrir sans se lasser et toujours avec surprise.
|
Ludus Tonalis - Suite "1922" :
interprété par Boris Berezovsky
|
Pour interpréter Hindemith au piano, il faut être un grand pianiste. Boris Berezovsky est celui qu'il
faut pour défendre un compositeur maudit et des oeuvres difficiles: Ludus
Tonalis et la Suite op22.
|
Mathis le peintre - Métamorphoses symphoniques sur un thème :
Franz-Paul
Decker dirige l'Orchestre
Symphonique de Nouvelle-Zelande
|
Une suite symphonique extraite de ses deux oeuvres non moins essentielles dans le catalogue de Paul Hindemith. Pour un petit prix on assiste à un réel mélange des genres qui n'est pas pour déplaire aux oreilles.
|
Cardillac :
L'orchestre National de l'Opéra de Paris dirigé par Kent Nagano, avec Angela Denoke, Alan Held, Hana Minutillo, Roland Bracht, Steve Gadd
|
Entrée au répertoire de l'Opéra national de Paris, 80 ans après
avoir été composé par Paul Hindemith, Cardillac est un chef d’oeuvre
bouleversant. Son intrigue raconte l'histoire d'un joaillier de génie qui assassine ses
clients pour récupérer les chefs d'oeuvre dont il revendique la paternité et
sans lesquels il ne peut vivre - conférant par là-même au meurtre le statut
d'oeuvre d'art.
André Engel transpose l’action dans les années vingt, années où
Cardillac fut composé, années folles de créativité, temps glorieux du cinéma
muet et des romans populaires. La mise en scène est finement cinématographique et soutenue par des
décors et des costumes de toute beauté.
|
