Oeuvres principales de Berg
                                                                     
                                                                    Concerto pour violon "à la mémoire d'une ange"
                                                                    Avec Daniel Hope (violon) et Paul Watkins à la direction de l'Orchestre Symphonique de la BBC1
                                                                               
                                                                    
                                                                        
                                                                            | Cette interprétation est de première importance car c'est la première fois que le concerto est crée en entier d'après l'oeuvre de Berg. Un disque qui lui a valu trois prix et une reconnaissance inégalée auprès de ses pairs | 
                                                                    
                                                                    
Suite lyrique
                                                                    par le Kronos Quartet
                                                                               
                                                                    
                                                                        
                                                                            | Le Kronos Quartet, spécialisé dans la nouvelle musique 
la commande d'œuvres inédites, rend ici toute son souffle à cette oeuvre d'une importance capitale dans le répertoire de la musique moderne | 
                                                                    
                                                                    
Quatuor à cordes op.3
                                                                    par le Quatuor Manfred
                                                                               
                                                                    
                                                                        
                                                                            | Bon compromis musical pour cette oeuvre qui reflète l'univers post-romantique du jeune Alban Berg. Les interprètes rendent à l'oeuvre tout sa transparence et son expressivité. | 
                                                                    
                                                                    
Wozzeck
                                                                    Orchestre du Musée de Francfort, le Choeur de l'Opéra de Francfort, dirigé par Sylvain Cambreling
                                                                    Mise en scène et décors : Peter Mussbach
                                                                               
                                                                    
                                                                        
                                                                            | Ce grand opéra moderniste du XX° siècle est désormais un chef-d'oeuvre classique. Peter Mussbach arrive à faire une  production volontairement stylisée et abstraite, tantôt tendre, tantôt violente, tour à tour charmeuse et âpre, rugueuse et 
miellée selon la musique. De grands bouleversants, comme l'apparition de Wozzeck ou l’inexpressivité absolue de Marie créant un inévitable malaise chez le spectateur. Sylvain Cambreling mène tout ce monde avec beaucoup de précision, et sait obtenir 
le meilleur de ses chanteurs, qualité inestimable pour ce type d'oeuvre.  | 
                                                                    
                                                                    
Lulu
                                                                    Choeur et orchestre de l'Opéra de Zurich, sous la direction de Franz Welser-Möst
                                                                     
                                                                               
                                                                    
                                                                        
                                                                            | Cet opéra inachevé a longtemps suscité une polémique musicale et la suscite toujours. Pour preuve, si l'opéra possède une fin donnée en 1978 par Friedrich Cerha, Welser-Möst avance le fait que Berg aurait, s’il l’avait connu, entièrement renié ce 
troisième acte. Pourtant, la mise en scène d’Eric Bechtolf sait rendre le juste climat de cette œuvre et la distribution est vocalement et dramatiquement plus qu'exemplaire.  |